Semaine 3: Chapitre 2&3a: Meurtres pour mémoire.

Le chapitre 2 commence à l’instant précis où le chapitre 1 a conclus – 19h25 le 17 octobre 1961. Ce chapitre ouvre avec « un coup sifflet strident » et nous raconte de façon frappante la manifestation des Algériens sur ce jour-là. On sait que la manifestation a été organisée par les Algériens pour dire « non au couvre-feu » instauré à leur encontre par le préfet de police de la Seine, Maurice Papon. L’auteur nous décrit la situation brutale où la manifestation pacifique est devenue « ratonnade », comme la journaliste Ryad Ouslimani l’a appelé. À travers les points de vue de Roger Thiraud, Kaïra Guelanine et Saïd Milache, l’auteur lance quelques piques au racisme et à la brutalité de ce qui s’est passé sur ce-jour horrible. Il critique la partie communiste en décrivant le « rideau de fer » sur la façade du journal l’Humanité qui a clairement ignoré la situation et le malheur des Algériens. En utilisant le caractère de Roger Thiraud et un discours directe libre il nous montre la sévérité de leur souffrance et nous décrit « la guerre qui pour la grande majorité des Français avait la seule réalité d’une suite communiqués ». Aussi, l’auteur emploi des termes comme « fellouzes » et « bicots », en nous montrant comment les polices et beaucoup de Français ont rejeté la faute sur les Algériens lorsque le contraire était vrai. Les meurtres des trois caractères étaient injustes et mal. En particulier, le meurtre de Roger Thiraud nous a fait méfiant à cause du fait qu’il n’était pas Algériens mais que le meurtre a semblé prévenu.

Le début du chapitre 3 nous amène vingt ans dans le futur et nous raconte le meurtre du fils de Roger Thiraud ; Bernard Thiraud. Le mystère continue et nous se posons plus de questions après il se fait tué par un vieil homme qui semble nerveux et qui manque d’expérience.

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