Semaine 7: Chapitre 6: Meurtres pour mémoire.

 

Ce chapitre commence avec un sentiment de tristesse quand Cadin visite la veuve de Roger Thiraud ; Mme Thiraud. On nous montre comment sa vie recluse volontaire, ou son appartement était toujours « plongé dans l’obscurité », l’avait transformé en une vieille femme. Daeninckx décrit « le dos volonté » et « les genoux légèrement pliés » pour démontrer comment elle a beaucoup âgée depuis le meurtre de son mari. En plus, la façon dans laquelle elle parle a Cadin nous fait suspicieux. Cadin a « l’impression de parler à un mur » et quand il dit qu’il demande des questions elle insiste qu’elle ne « l’explique pas ». Cela nous fait curieux et on se demande si elle cache quelque chose sur le meurtre de son mari ou le meurtre son fils, Bernard. Cadin continue à demander des questions et pose la question si Roger était lié à « un réseau d’aide au F.L.N. et Mme Thiraud devient contrariée. Cadin nous montre encore qu’il est gentil en disant qu’il ne « veut aucun mal » pour Mme Thiraud. Il essaie de la calmer et on voit qu’il a une démarche psychologique. Néanmoins, Mme Thiraud insiste que Cadin se trompe et son mari « n’avait aucun goût pour la politique ». Mais, on apprend que Mme Thiraud, en fait, a vu le mort de son mari lorsqu’elle « était accoudée à la fenêtre ». On a de la sympathie pour elle d’après avoir vu le meurtre de son mari, surtout parce qu’elle était enceinte avec Bernard. On apprend que Roger avait « un goût pour le cinéma fantastique » et qu’il l’a caché. Cadin affrime qu’il n’a « pas été tué au hasard ».

Ce chapitre nous rappelle aussi que ce livre est un roman engagé et Daeninckx fait plus de références politique dedans. Il critique la mondialisation et ‘l’Américanisation’ du monde aussi bien que communisme avec au début du chapitre quand il décrit que Walt Disney et Burger King était partout à Paris maintenant : « le self-service de l’Humanité qui s’était mué en « Burger King » ».

Aussi bien que cela, Daeninckx décrit le monde ouvrier en France à l’époque avec « le clinquant des enseignes, les néons des cafés laissaient place à l’agitation anarchique des métiers de la confection ». Il nous montre aussi sa position politique de la gauche avec des anecdotes en décrivant les conditions des ouvriers. Il dit que des accidents se produisaient souvent parce que les conditions étaient si mauvaises. Le « nitroglycol agissait sur le cœur » et quand les ouvriers ne travaillaient pas, le weekend ou les congés, ils ont dû être en manque de nitro et ils ont tombé malade. Cela nous montre les conditions horribles des ouvriers a l’époque et le fait que Daeninckx le mentionne montre que ce livre est sans doute un roman engagé, avec des références de la réalité.

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